Le bras technologique de l’Uni a signé jeudi un partenariat avec la fintech basée à la Lhoft. L’objectif est de développer une nouvelle architecture de plate-forme numérique beaucoup plus sécurisée par rapport aux solutions proposées aujourd’hui.
Le bras technologique de l’Uni a signé jeudi un partenariat avec la fintech basée à la Lhoft. L’objectif est de développer une nouvelle architecture de plate-forme numérique beaucoup plus sécurisée par rapport aux solutions proposées aujourd’hui.
C’est un projet qui implique encore une grande part d’inconnu, et cela le rend d’autant plus excitant. «Nous avons un large espace de manœuvre pour notre recherche, mais l’idée est de redéfinir le mode dont nous pensons la conception d’une plate-forme autour de la blockchain pour la rendre encore plus sûre», s’enthousiasme Radu State, expert en sécurité des réseaux au SnT.
La start-up VNX, qui a développé une plate-forme d’échange dédiée aux sociétés de capital-risque, et l’institut de recherche de l’Université ont signé jeudi soir un partenariat autour de la blockchain. L’objectif est ambitieux, car il vise à proposer un nouveau modèle de plate-forme d’échange d’actifs numériques ultrasécurisé. Celui-ci servira bien évidemment à la solution de VNX, mais il pourra également constituer la structure d’autres plates-formes qui gèrent l’échange de tokens ou cryptomonnaies.
Impacter le marché mondial de la cybersécurité
En d’autres termes, il s’agit de «concevoir de nouveaux cadres informatiques facilitant l’échange sécurisé d’actifs numériques sur des réseaux blockchain», précise un communiqué.
«Nous voulons mettre en place des mécanismes de sécurité modernes susceptibles de sécuriser totalement notre plate-forme et d’avoir un impact sur le marché mondial de la cybersécurité», complète Alexander Tkachenko, fondateur et CEO de VNX.
Plus sûre, tout en étant conforme
L’objectif est ambitieux, car il s’agit, avec cette future solution, de «réduire les dépenses mondiales en matière de cybersécurité jusqu’à 50% des prévisions actuelles», notent les deux partenaires. Selon Forbes, le marché mondial de la cybersécurité atteindra 170 milliards de dollars en 2020.
«De manière générale, nous devons aborder deux aspects: la protection contre les criminels qui pourraient tenter de pirater le système pour voler de l’argent ou des informations, et la garantie du respect des réglementations anti-blanchiment et KYC», détaille Radu State.
Le partenariat entre VNX et le SnT courra sur quatre ans.
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